Au sommaire de ce numéro :

• Lu, vu, entendu, par Hugues Hovasse
  • Actualités : Le mandrin « Victory » de Record Power, par Pierre Delétraz
  • Pas-à-pas : Un bilboquet japonais : le kendama, par Gérard Grisward
  • Technique : Tournage excentrique : le coquillage de Saueracker, par Jean-Claude Charpignon
  
  Descriptif détaillé

Des actualités pour s'informer, de la technique pour apprendre et se perfectionner, de beaux modèles pour s'inspirer : le nouveau numéro 47 de Tournage sur bois est complet et varié ! Pour vous, nous testons un nouveau matériel au potentiel certain, nous détaillons la réalisation d'un jouet méconnu mais ô combien intéressant tant dans sa technique que dans son utilisation, et nous dévoilons les secret d'une forme étonnante de tournage excentrique.

• Le mandrin « Victory » de Record Power, par Pierre Delétraz

On trouve sur le marché bon nombre de modèles de mandrin, et ce n’est pas toujours facile de faire son choix. Quand un nouveau modèle sort sur le marché, la tâche se complique encore. Heureusement, Tournage sur bois est là ! Pour vous, nous avons pu tester, en avant-première, le nouveau mandrin de Record Power nommé « Victory ».

• Un bilboquet japonais : le kendama, par Gérard Grisward

Le kendama, ou bilboquet japonais est un jeu d’adresse en bois auquel un artisan japonais du nom de Hamaji Egusa a donné sa forme actuelle vers 1920. Sur Internet, on trouve de nombreuses vidéos consacrées au kendama et à sa pratique. Un championnat du monde a même lieu chaque année au Japon, à Hatsukaichi. Mais ce qui nous intéresse ici, c’est de le fabriquer ! C’est un défi intéressant pour les tourneurs, car il permet de mettre en oeuvre certaines techniques astucieuses. À vos gouges, et place au tournage !

• Tournage excentrique : le coquillage de Saueracker, par Jean-Claude Charpignon

Johann Engelhardt Herrmann Saueracker, tourneur allemand de Nuremberg (1856-1943), a laissé un héritage remarquable dans le domaine du tournage ornemental. Il est connu pour ses travaux à base de sphères incluses ou étoilées, mais aussi des pièces de tournage excentrique ou ­ guré. Parmi ses créations les plus célèbres se trouvent des coquillages, en bois et parfois en ivoire, devenus des œuvres prisées dont certaines sont conservées au musée de Nuremberg. Nous allons tenter de reproduire la forme distinctive du coquillage de Saueracker en utilisant un mandrin excentrique, fabriqué à partir d’un tour à bois équipé d’un plateau métallique de 100 ou 150 mm.