Au sommaire de ce numéro :
• Lu, vu, entendu, par Hugues Hovasse
• Reportage « Extraordinaires Journées à l’école Escoulen », par Cyril Moré
• Tournage sur bois fête ses 10 ans !, résultat des concours
• Les bois méditerranéens rares, par Bernard Azema
• La boîte suspendue, par Mathias Lecocq
• Nœud celtique à 45°, par Thierry Martin
• Une boîte bicolore, par Patrick Trombert
Au sommaire de ce numéro :
Descriptif détaillé
Fraîcheur, vent et pluie : pas de doute, c’est l’automne et bientôt l’hiver. C’est la saison idéale pour se ressourcer à l’atelier, bien guidé par ce nouveau numéro de Tournage sur bois ! Numéro qui voit l'arrivée d'un nouvel auteur : le tourneur John Rander, bien connu pour ses vidéos très pédagogiques sur Internet, sur le sujet essentiel des empreintes de reprise. Thierry, Pierre et Cyril ne sont pas en reste avec respectivement une lunette de tournage « faite maison », un petit éléphant tourné, premier membre d'une jolie ménagerie qui fera l'œuvre d'une belle série, et une belle canne de marche propice aux balades et prétexte à la découverte d'une technique particulière.
Les représentations figuratives d’animaux en sculpture sur bois sont courantes, mais je suis avant tout tourneur sur bois et j’essaye toujours de trouver un compromis entre tournage et stylisation des animaux. C’est ainsi que j’ai créé toute une ménagerie dont je vous présente ici la première réalisation : l’éléphant.
Quand, en tournage sur bois, on s’attaque au travail de pièces longues, on est vite confronté aux problèmes de vibrations. Que l’on travaille entre pointes ou en l’air, le meilleur remède est alors d’utiliser une lunette. Dans le n° 7 de bois, nous avons abordé le sujet avec un article complet sur les lunettes à ficelles, qui conviennent bien pour des pièces fines et longues. Mais pour des pièces plus conséquentes et pour le tournage en l’air, il va falloir utiliser une lunette plus robuste. On peut en trouver différents modèles dans le commerce, mais pourquoi ne pas se la fabriquer ? C’est ce que je vous propose ici.
Pour aller aux champignons ou faire une promenade dans des chemins escarpés, il n’y a pas mieux qu’un bon bâton. En tant que tourneur, ce serait dommage de ne pas concevoir sa propre canne de marche. Et en plus, c'est de saison !
Si vous vous êtes déjà demandé comment vous alliez terminer la base d’une pièce sans l’abîmer dans les mâchoires de votre mandrin à 4 mors, cet article va vous intéresser. Ce que l’on appelle une empreinte de reprise permet en effet de maintenir une pièce sans l’abîmer. Elle peut prendre de multiples formes. Souvent réalisée par les tourneurs à partir d’une chute de bois, son utilisation est un réflexe pour les plus expérimentés. Voici tous ses secrets !
Format: 21 x 29,7 cm
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Format: 21 x 29,7 cm